Kalonopédia
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Dragon Mordoré

Nom scientifique Draconis Mordorea
Localisation géographique probablement cosmopolite
Espérance de vie Extensive. le seul spécimen connu a vécu 35000 ans avant sa mue imaginale.
Utilité Les écailles servent à fabriquer des armures de grande qualité, grâce à leurs propriétés de résistance à la magie. On peut supposer que leurs autres organes sont également utiles aux sorciers
Dangerosité C'est un dragon.
Pouvoirs magiques éventuels Inconnus
Intelligence élevée.
Histoire Morgoth à partir de l'épisode II
Toutes les bestioles


Ce sont les plus doux, les plus timides et les plus faibles des dragons. Connus pour leur amour de la beauté et des arts, ils sont tous supérieurement intelligents et particulièrement versés dans les arts de la métamorphose, de l'hypnose et de l'illusion, ce qui leur permet en général d'éviter le combat et de ce fondre parmis les populations.

Néanmoins, lorsqu'il est acculé, le dragon mordoré se bat avec la férocité des dragons, usant de ses griffes acérées, de ses crocs pointus et de son souffle. A cet égard, le mordoré peut utiliser indifféremment son souffle disrupteur ou un souffle de feu.

Lorsqu'ils sont jeunes, ils sont inférieurs en taille et en puissance physique aux autre dragons, néanmoins, après bien des millénaires, ils ne peuvent pas y couper, il faut qu'ils accomplissent une mue extrèmement hasardeuse pour devenir vénérables. La majeure partie des dragons mordorés périssent misérablement au cours de ce processus, seuls quelques-uns ont la chance de devenir alors des dragons iridiés. Ils rattrappent alors d'un coup tout le retard de croissance qu'ils ont sur les autres dragons, pour les surpasser sans problème. C'est précisément ce qui arrive à Xyixiant'h lors du 7e épisode de Morgoth.

Le mordoré n'est pas à proprement parler une créature de chair, c'est un mythe auquel bien des gens ne prêtent aucune réalité, l'élégance portée à son degré le plus élevé, la quintessence de la beauté, la rare créature dont les autres dragons ne sont que des reflets malhabiles et dont peu d'humains vivants avaient alors pu un jour contempler la splendeur.

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