Kalonopédia
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Le parløj est une langue artificielle créée en -220 IDF[1] par Maricius Zaharof, podologue khnébite.

Origines[]


Naissance[]

Tout a commencé quand Zaharof reçut une bûche sur la tête, provoquant chez lui une forme de folie apparemment inoffensive qui lui faisait expliquer les guerres par l'incompréhension générée, selon lui, par le trop grand nombre de langues. Il s'empressa donc d'en créer une nouvelle, qui serait meilleure -et de loin- grâce à l'apport "des désinences diatoniques, des cas datifs et des accents circonflexes inversés sur le C"...

Par un (mal?)heureux concours de circonstance, le manuel "Parløj Langadjà Internationalù" (qui a donné son nom à la langue) s'est retrouvé entre les mains de divers lettrés des quatre coins de la Kaltienne, qui se sont empressés d'apporter leur appui au docteur Z. Un bref engouement s'ensuivit durant lequel le parløj gagna un (relativement) grand nombre d'adeptes, jusqu'à l'épuisement du stock de lettrés oisifs intéressés par l'étude des langues.

Décadence sans grandeur[]


À ce moment de l'histoire du parløj, les jeux étaient faits. Le petit monde du parløj fut secoué de querelles (parfois sanglantes) entre factions rivales, avec notamment la sécession des adeptes du "parløj rénové" ou "spikol". Dès lors le nombre de locuteurs stagna, voire décrut légèrement, concurrencée qu'était la pratique du parløj par celles de la poterie ou de la danse folklorique. Depuis cette époque, le milieu du parløj forme un ensemble de sectes dirigées par des conjurateurs fanatiques tels Riton les mauxfaits...

Phrases en parløj[]


  • « Pasmwalsel durithdedøozj, djelabirooth okarê sermãnsjinkh jurezynolli av hintampaçê. Thaber nakdesji bwärh ? Thrybjürn asefal dègranphøn. [2]

Cette phrase est la première du manuel "Parløj Langadjà Internationalù", qui se poursuit par

  • "«Bavalua balaswinda tharladi r’ladada, Yadissoley edenana tharladi r’ladada.».


Nécripontissien[]


Icône de détail Article détaillé : Nécripontissien.


On sait que la langue de communication des continents qui entourent la Kaltienne est le Nécripontissien depuis Kalon XV. Il est permis de supposer que les parløjistes en général considèrent cette langue avec une hostilité polie et ne l'emploient qu'a contrecœur en faisant exprès de la parler mal pour montrer à quel point elle est difficile...

Références[]

  1. Voir La Catin de Baentcher : Tout ça pour expliquer que deux cent vingt ans après l’invention du parløj, il n’était toujours parlé que par deux pelés et trois tondus.
  2. "okarê" veut dire « crépuscule », "jurezynolli", "une espèce de marsouin" et "pr’brouk" soit le sexe de la femme, soit le secteur de boot d’un disque SATA.
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